Le 16 novembre 2022, la fusée SLS de la mission Artemis 1 vers la Lune a libéré 10 petits satellites entre la Terre et la Lune. La majorité de ces missions annexes ont échoué, ou sont à la peine.
Que sont-ils devenus ? Le 16 novembre 2022, la fusée SLS de la mission Artemis 1, alors en route vers la Lune, libérait dix petits satellites. Voile solaire, démonstrateur technologique, et même atterrisseur lunaire : tous n’ont pas transmis de bonnes nouvelles. Plusieurs missions ont d’ores et déjà échoué. Serait-ce à cause de leur longue attente entre l’étage supérieur de la fusée et la capsule Orion à son sommet ? Ils y ont patienté depuis l’automne 2021, soit un an avant le décollage ! « Il est fort possible que cette attente ait affecté les batteries des nanosatellites », juge un industriel qui emploie lui-même ces petits orbiteurs. Sept semaines après le lancement, voici un point complet sur la cargaison d’Artemis 1.
Quatre missions ont échoué
Que sont-ils devenus ? Le 16 novembre 2022, la fusée SLS de la mission Artemis 1, alors en route vers la Lune, libérait dix petits satellites. Voile solaire, démonstrateur technologique, et même atterrisseur lunaire : tous n’ont pas transmis de bonnes nouvelles. Plusieurs missions ont d’ores et déjà échoué. Serait-ce à cause de leur longue attente entre l’étage supérieur de la fusée et la capsule Orion à son sommet ? Ils y ont patienté depuis l’automne 2021, soit un an avant le décollage ! « Il est fort possible que cette attente ait affecté les batteries des nanosatellites », juge un industriel qui emploie lui-même ces petits orbiteurs. Sept semaines après le lancement, voici un point complet sur la cargaison d’Artemis 1.
Quatre missions ont échoué...
Pour lire l'article complet, choisissez notre offre web à seulement 2 €/mois
Philippe Baptiste discute dans ce grand entretien de « Ciel & espace » des prochains enjeux pour l’espace français et européen. Mais aussi de sa vision d’une recherche libre et performante.
Lancé par SpaceX depuis la base californienne de Vandenberg le 23 juin 2025, le second démonstrateur de la société franco-allemande TEC a été placé avec succès sur orbite avant de revenir sur Terre. Il a cependant disparu des écrans radars quelques minutes avant son amerrissage dans l’océan Pacifique.
En quelques nuits d’observation d’un même champ céleste, le nouveau télescope de 8,4 m de diamètre qui vient d’entrer en service dans les Andes chiliennes a photographié plus de 4000 astéroïdes. Dont plus de la moitié seraient nouveaux. Une moisson qui laisse entrevoir les capacités de cet instrument capable de scanner l’ensemble du ciel au-dessus de lui tous les trois à quatre jours.