Ils veillent sur les astronautes européens et sont leurs premiers interlocuteurs sur Terre. Au centre européen des astronautes, nous avons rencontré l’un des « eurocoms » de l’ESA : le Québecois Alexandre Fréchette.
« Je cherche mes mots, mais c’est parce que tout notre vocabulaire est en anglais », s’excuse-t-il dans un sourire. Ingénieur en aérospatiale, Alexandre Fréchette travaille depuis quinze ans au sein de l’équipe médicale qui suit les astronautes européens et participe au développement d’appareils médicaux pour l’exploration spatiale, notamment pour la station lunaire Gateway. Il est surtout l’un des eurocoms (European Communicator and Medical Operations) de l’ESA. L’un de ceux, donc, qui ont le privilège de parler quotidiennement aux astronautes lorsqu’ils sont en orbite. Au Centre européen des astronautes (EAC) à Cologne, il nous a reçu à son poste de travail.
Pouvez-vous nous expliquer le rôle d’un eurocom au sein de l’Agence spatiale européenne ?
« Je cherche mes mots, mais c’est parce que tout notre vocabulaire est en anglais », s’excuse-t-il dans un sourire. Ingénieur en aérospatiale, Alexandre Fréchette travaille depuis quinze ans au sein de l’équipe médicale qui suit les astronautes européens et participe au développement d’appareils médicaux pour l’exploration spatiale, notamment pour la station lunaire Gateway. Il est surtout l’un des eurocoms (European Communicator and Medical Operations) de l’ESA. L’un de ceux, donc, qui ont le privilège de parler quotidiennement aux astronautes lorsqu’ils sont en orbite. Au Centre européen des astronautes (EAC) à Cologne, il nous a reçu à son poste de travail.
Pouvez-vous nous expliquer le rôle d’un eurocom au sein de l’Agence spatiale européenne ?
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