Le but de l’astrophotographe est de mettre en évidence la lumière venue du ciel, et celle-ci uniquement. Cet objectif, simple en apparence, n’est pas si facile à atteindre. Dans la pratique, une série d’informations parasites vient s’ajouter à l’image brute lors des longs temps de pose. Un capteur numérique présente principalement trois types de défauts, qui peuvent être corrigés par ce que l’on appelle le “prétraitement”.
Cette opération doit être effectuée avec un logiciel approprié. Pour les lecteurs de Ciel & Espace, le photographe Thierry Legault a détaillé comment la réaliser avec le logiciel Iris, très utilisé par les astronomes amateurs.
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