Atterrir sur la Lune : le casse-tête

© Blue Origin
Même après Apollo, poser des astronautes sur la Lune reste une prouesse difficile. Surtout quand les prochains vaisseaux s’annoncent bien plus massifs que les précédents. Des expériences menées sur Terre tentent de prévoir au mieux les panaches provoqués par les engins spatiaux à l’approche de notre satellite.
Nous sommes cinquante-quatre ans, quasiment jour pour jour, après l’atterrissage sur la Lune du module Eagle d’Apollo 11 et de ses astronautes Neil Armstrong et Buzz Aldrin. Alors que les missions habitées du programme Artemis approchent, on pourrait penser que les atterrissages lunaires sont aujourd’hui plus accessibles. Pourtant, une étude publiée le 1er juin 2023 affirme, expériences à l’appui, que tout n’est pas si simple, loin de là ! Gros atterrisseurs, grosses difficultés Philip Metzger. Philip Metzger, planétologue au Florida Space Institute, a mené plusieurs tests pour savoir comment réagissait le régolithe lunaire à l’arrivée d’un vaisseau. « Notre but était de déterminer quelle quantité de sol est détruite par un atterrisseur lunaire. Et
Nous sommes cinquante-quatre ans, quasiment jour pour jour, après l’atterrissage sur la Lune du module Eagle d’Apollo 11 et de ses astronautes Neil Armstrong et Buzz Aldrin. Alors que les missions habitées du programme Artemis approchent, on pourrait penser que les atterrissages lunaires sont aujourd’hui plus accessibles. Pourtant, une étude publiée le 1er juin 2023 affirme, expériences à l’appui, que tout n’est pas si simple, loin de là !

Gros atterrisseurs, grosses difficultés Philip Metzger. Philip Metzger, planétologue au Florida Space Institute, a mené plusieurs tests pour savoir comment réagissait le régolithe lunaire à l’arrivée d’un vaisseau. « Notre but était de déterminer quelle quantité de sol est détruite par un atterrisseur lunaire. Et...
Recevez Ciel & Espace pour moins de 6€/mois

Et beaucoup d'autres avantages avec l'offre numérique.

Voir les offres

Nous avons sélectionné pour vous