Après un premier retour réussi dans les bras de sa tour de lancement, le colossal booster du Starship de SpaceX doit repartir vers l’espace le 18 novembre. Et en revenir. Mais comment fonctionne le pilote automatique de la fusée voulue par Elon Musk ?
Au lendemain de l’élection de Donald Trump, se dessine un futur où les départs de Starship pourraient se multiplier depuis le Texas. Elon Musk, soutien majeur du candidat républicain, a même été promis à prendre la tête d’une « commission sur l’efficacité gouvernementale » pendant la campagne électorale. Un atout pour le patron de SpaceX qui aimerait mettre à plat ce qu’il appelle « la bureaucratie qui étrangle à mort l’Amérique ». Et plus particulièrement le travail de régulation environnementale de la FAA, l’Administration Fédérale de l’Aviation, auprès de qui son entreprise est contrainte d’obtenir ses autorisations pour voler… et risquer l’explosion à l’atterrissage.
Le 13 octobre 2024, le Super Heavy, booster de 70 m de haut et lanceur
Au lendemain de l’élection de Donald Trump, se dessine un futur où les départs de Starship pourraient se multiplier depuis le Texas. Elon Musk, soutien majeur du candidat républicain, a même été promis à prendre la tête d’une « commission sur l’efficacité gouvernementale » pendant la campagne électorale. Un atout pour le patron de SpaceX qui aimerait mettre à plat ce qu’il appelle « la bureaucratie qui étrangle à mort l’Amérique ». Et plus particulièrement le travail de régulation environnementale de la FAA, l’Administration Fédérale de l’Aviation, auprès de qui son entreprise est contrainte d’obtenir ses autorisations pour voler… et risquer l’explosion à l’atterrissage.
Le 13 octobre 2024, le Super Heavy, booster de 70 m de haut et lanceur...
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Bonne nouvelle sur le front de la couche d’ozone : le trou de la haute atmosphère qui campe au-dessus de l’Antarctique est, en 2024, relativement petit, comparé aux années précédentes. Ce qui suggère qu’il est bel et bien en train de se reboucher.
Bientôt, des satellites en bois ?
Y aura-t-il un jour sous les coiffes des lanceurs des satellites de télécommunications construits avec des biomatériaux ? Alors que le Japon s’apprête à lancer le démonstrateur LignoSat, la petite start-up finlandaise Arctic Astronautics tentera elle aussi un pari technologique similaire avec une démonstration en orbite envisagée courant 2025.
Dans la nuit du 29 au 30 octobre 2024, les trois taïkonautes de Shenzhou 19 sont venus relever l’équipage de Shenzhou 18 à bord de Tiangong, la Station spatiale chinoise. À compter de 2025, celle-ci sera ravitaillée par deux vaisseaux cargo, sélectionnés un jour plus tôt par l’Agence chinoise du vol spatial.