Il vient d’avoir la preuve inédite qu’une faible atmosphère d’azote et de gaz carbonique (CO2), de l’eau et du régolite suffisent pour faire prospérer un certain type de bactéries. De telles cultures permettraient de créer des écosystèmes nourriciers durables pour de futures bases martiennes habitées. Ses résultats sont publiés aujourd’hui dans la revue Frontiers in Microbiology.
...