Pour expliquer ces deux observations de la sonde Juno – en orbite autour de la géante depuis 4 ans – l'astrophysicien français Tristan Guillot propose un modèle fascinant, dans lequel l'ammoniac NH3, faisant office d'antigel, permettrait à l'eau de rester liquide à très basse température en s'y mêlant sous forme d'ammoniaque. Les conséquences de ce phénomène sur la météo de Jupiter sont étonnantes...
Avec Tristan Guillot, directeur de recherche au cnrs et membre de l'observatoire de la Côte d'Azur, et David Fossé, rédacteur en chef adjoint de Ciel & Espace
Sur smartphone ou tablette, si...