En testant 29 algorithmes différents, Dov Corenblit, Sébastien Delmotte et leurs collègues ont mis en évidence l’efficacité des « réseaux de neurones convolutifs » pour distinguer, parmi certains sédiments terrestres, ceux qui avaient une origine biotique de ceux qui n’avaient rien à voir avec le vivant.
Ce type d’intelligence artificielle pourrait être embarqué sur les rovers martiens, au côté de celle baptisée SPOC, qui leur permet d'éviter les dangereux bancs de sable. Mais comment fonctionne-t-elle ? Et quand pourra-t-elle...