To the Moon, le film qui ne choisit pas

L’État américain aurait imposé à la Nasa de tourner en studio les premiers pas sur la Lune de Neil Armstrong, pour que la victoire par l’image sur les Russes soit totale. Tel est le propos de « To the Moon », qui sort dans les cinémas en France le 10 juillet ; un film présenté comme une comédie, mais qui oscille entre plusieurs genres sans jamais choisir.
La bande-annonce du film « To the Moon » avait de quoi interpeller. On y comprenait qu’il racontait l’histoire cachée de la mise en scène en studio des premiers pas d’un homme sur la Lune. Le tout sur un ton rigolard annonçant une comédie. Cela suffisait pour que Ciel & espace s’y intéresse avec, notamment, une question lancinante en arrière-plan : ce film ne risquait-il pas de conforter les complotistes dans leur croyance que Neil Armstrong et Buzz Aldrin n’ont pas foulé l’astre des nuits en 1969 ? Quelle part allait-il faire à la critique du conspirationnisme ? Nous avons donc visionné « To the Moon », qui inclut des têtes d’affiche aussi célèbres que Scarlett Johansson et Woody Harrelson. Et la réponse à la question du traitement du complotisme se
La bande-annonce du film « To the Moon » avait de quoi interpeller. On y comprenait qu’il racontait l’histoire cachée de la mise en scène en studio des premiers pas d’un homme sur la Lune. Le tout sur un ton rigolard annonçant une comédie. Cela suffisait pour que Ciel & espace s’y intéresse avec, notamment, une question lancinante en arrière-plan : ce film ne risquait-il pas de conforter les complotistes dans leur croyance que Neil Armstrong et Buzz Aldrin n’ont pas foulé l’astre des nuits en 1969 ? Quelle part allait-il faire à la critique du conspirationnisme ?

Nous avons donc visionné « To the Moon », qui inclut des têtes d’affiche aussi célèbres que Scarlett Johansson et Woody Harrelson. Et la réponse à la question du traitement du complotisme se...
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