Leurs offres étaient les plus crédibles sur tous les paramètres techniques, contractuels et bien sûr calendaires. Il y avait un point critique : avoir une première mission de démonstration d’ici 2028. Ce planning ambitieux est dicté par le contexte de compétition globale.
Quelles ont été vos principales demandes techniques ?
Nous souhaitons avoir une solution permettant de monter jusqu’à 4 tonnes de fret vers la station spatiale internationale (ISS) ou de futures stations commerciales, et de redescendre environ 2 tonnes sur Terre. L’idée n’est pas de refaire un « ATV-bis » mais bien d’avoir des solutions techniques que nous puissions réutiliser régulièrement...