Une récente coulée de lave sur Vénus aurait été identifiée dans des données radar obtenues dans les années 1990. Du grain à moudre pour les trois sondes spatiales qui s’élanceront vers la planète dans les années 2030.
« Du fait de l’atmosphère très opaque de Vénus, la technique radar est l’une des seules qui permette de “voir” sa surface et donc d’identifier une potentielle évolution entre deux passages de la sonde », explique Emmanuel Marcq, physicien du Latmos et responsable de l’instrument VenSpec-U pour la mission européenne...